Tu goûtais
l’immortalité.
Un Roi, des
roses : ton corps astral
S’est libéré de la
matière
Nous faisant regretter
Hier,
Ce doux souvenir lacrymal.
Le vide semble parfois
plus bruyant
Que ton calme apparent
d’antan.
Pacifique, ta quête
d’harmonie
Était le feu de ton
pinceau,
Catalyseur, œil sur ta
vie,
Qui sur toiles peignait
le Très Haut.
Une rage tournée vers
l’intérieur
Voulait préserver
l’extérieur
Mais réveillait notre
compassion
Et ton vœu d’émancipation.
Tout comme ton humour
et ton rire,
Tes sourires nous
étaient précieux,
La liberté en ligne de
mire
Nous te soutenions de
notre mieux.
Depuis ce quatre juin
deux-mille-douze
Ton beau visage est
notre ventouse,
La fin du monde parût
réelle
Lors de ton envol pour
le ciel.
Ton retour au royaume
de Dieu
Trouvera son Sens dans
l’épreuve
Qui nourri un amour radieux :
Cette Clé fusionnera les
deux fleuves.
Pour mon frère, Jonathan GOUMAT.
Dimanche 14 octobre 2012
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