vendredi 30 août 2013

Zodiaque, l'exposition artistique 2e partie

Voilà, après 10 jours d'ouverture de la salle Roumanille de Nyons, l'exposition " Zodiaque " s'est terminée. Pendant 40 heures, ce sont approximativement 110 personnes qui sont venues visiter ce temple éphémère de l'astrologie humaniste. Ce fut une opportunité de révéler mon travail et échanger sur le sujet, vulgariser les concepts clés de l'astrologie afin de la sortir du carcan réducteur des horoscopes des journaux. 
La partie de l'exposition consacrée aux œuvres de mon p'tit frère Jonathan a aussi intéressé le public.  
Je lui ai rendu hommage en exposant ses toiles " Spirit Heads " et " Sun Moon ", et en mettant à disposition du public l'un de ses classeurs rempli de dessins. L'art est un moyen d'accéder à une forme d'immortalité sur le plan physique.
Les souvenirs des êtres chers les rendent éternel au sein de notre âme.


Place au reportage photo de l'exposition réalisé par Stéphanie Lehu...

Vue d'ensemble de la salle Roumanille, le lieu de l'exposition.

  
Moi devant "Yod", l'interprétation picturale de mon thème astral, la seule aquarelle de l'exposition.

Stéphanie pose devant la série " Zodiaque ", dessins assistés par ordinateur (D.A.O) imprimés sur toiles Canvas.

Une exposition qui enflamme l'imagination et réduit en cendres les préjugés sur l'astrologie ! 
Du moins, c'est ce que j'ai essayé de faire.

  Moi et mes "drôles de dames", de la série " Astrogirls ". 
Dessins assistés par ordinateur imprimés sur papier dessin.

 
" Spirit Heads " et " Sun Moon " : peintures à l'huile sur toiles réalisées par mon frère Jonathan Goumat. 
Paix à son âme.

Discussion sur l'astrologie autour d'un verre à l'occasion du vernissage.

 Public devant la série " Zodiaque ", dessins assistés par ordinateur (D.A.O) imprimés sur toiles Canvas.

 Visionnage de mon animation Zodiaque sur ordinateur portable.

En arrière plan à droite de Yacin, le mur dédié à la série " Astrogirls ".

 Coin vente de cartes postales reprenant les visuels de l'exposition.

Mise à la disposition du public d'un document sur l'histoire de l'astrologie.

 
Sur cette même table, mise à disposition du public du dossier de presse de l'exposition, d'un Book de dessins inspirées de l'astrologie et d'un carnet de croquis au stylo et crayons représentant des personnages stéréotypes des 12 signes du Zodiaque.

Quelques livres de Dane Rudhyar pour attiser la curiosité. Et le livre d'Or de l'exposition..

Leslie et sa carte postale du signe des Poissons.

Ma mère, devant la toile de son signe astrologique : le Taureau

Mon père devant la banderole de l'exposition, à l'entrée de l'Espace Roumanille.

Dernier jour de l'exposition. That's all Folks !

mercredi 21 août 2013

Zodiaque, l'exposition artistique



Du mercredi 21 au vendredi 30 août 2013, j'organise une exposition de dessins à l'Espace Roumanille, place de la Libération, Nyons.
Les portes de la salle sont ouvertes de 16h30 à 20h en semaine, de 10h à 12h et de 15h à 19h le week-end.


« Zodiaque » est une série de dessins assistés par ordinateur (D.A.O) imprimés sur toiles, inspirée de l’œuvre de Dane Rudhyar, père de l’astrologie humaniste et transpersonnelle. Une animation vidéo est diffusée simultanément.

L’exposition illustre le cycle de l’expérience humaine à travers les énergies du Zodiaque et est dédiée à Jonathan Goumat et au Centre d’Astrologie Humaniste Appliquée de Sylvie Lafuente Sampietro.


Vous pouvez télécharger le dossier de presse de l'exposition.

Article du Dauphiné Libéré paru le 22 août 2013 : 

Au dessus c'est l'soleil...


Article du Dauphiné Libéré paru le 25 août 2013 : 


Article de la Tribune paru le 5 septembre 2013 :



Le vernissage de l'exposition s'est déroulé mercredi 21 août (jour de pleine Lune) à 18h.
Des photos de la soirée seront prochainement publiées.


 Carte du ciel au moment du vernissage de l'exposition (via Astroo.com)


Discours lu devant le public, à l'occasion du vernissage de mon exposition " Zodiaque ", mercredi 21 août 2013.

Samedi dernier, Pierre Creveuil de l’association des amis de René Barjavel tenait sa conférence consacré à la dimension ésotérique de l’œuvre de Barjavel. À cette occasion, il a fait écouter à son auditoire plusieurs extraits sonores tirés d’interviews de l’auteur à la TV ou la radio.
Le 11 mars 1981, dans l’émission Radioscopie de France Inter, Barjavel aborda le sujet de l’astrologie et dit :

« L'astrologie, c'est la trace, c'est le reste d'une civilisation qui avait placé l'Homme au milieu de l'Univers, et qui connaissait les rapports entre l'Homme et l'Univers. Le grand malheur de l'homme d'aujourd'hui, c'est qu'il ne sait plus ce qu'il fait dans l'Univers. Alors, il ne pense qu'à ses petits besoins, ils ne pense qu'à ses besoins immédiats, et son égoïsme s'établit, alors qu'il ne sait pas ce qu'il fait sur la Terre et ce qu'il a à y faire, alors que, certainement, nous avons quelque chose à y faire. »

Je partage ce point de vue, et voilà ma transition toute faites pour présenter mon exposition.
« Zodiaque » est une série de dessins assistés par ordinateur (D.A.O) imprimés sur toiles, inspirée de l’œuvre de Dane Rudhyar, philosophe, poète et père de l’astrologie humaniste et transpersonnelle. Une animation vidéo sera diffusée simultanément.
L’exposition illustre le cycle de l’expérience humaine à travers les énergies du Zodiaque et est dédiée à mon frère Jonathan Goumat et au Centre d’Astrologie Humaniste Appliquée de Sylvie Lafuente Sampietro.
À côté des 12 toiles, vous trouverez une aquarelle qui est aussi l’interprétation artistique d’un thème astrologique d’où la prolifération de symboles.
Une touche plus légère vous est présentée avec la série « Astrogirls », 12 dessins imprimés sur papier représentant 12 femmes incarnations des archétypes zodiacaux. 
En hommage à mon frère Jonathan disparu l’an dernier, j’ai souhaité exposer 2 de ses peintures à l’huile sur toiles. Il dessinait énormément, plus que moi. Nos thématiques se rejoignaient souvent, chacun abordant le sujet de la spiritualité et du mysticisme sous un angle différent. Les dernières années de sa vie, il commençait à prendre confiance en lui et cherchait un moyen d’exposer son travail au-delà de son cercle amical et familial. Aujourd’hui j’essaye avec mes moyens de mettre en lumière ses talents. Ce fut l'une des premières choses qui m’a traversé la tête, comme une mission. Je sais qu’il est avec nous ce soir. 

Pour revenir à la thématique de mon exposition, nombreux sont ceux qui ne devaient pas soupçonner ma passion pour l’astrologie. En effet, diplômé d’un Master en Sciences de l’Information et de la communication, j’ai mené en parallèle 5 années d’études d’astrologie humaniste à Grenoble auprès de Sylvie Lafuente Sampietro, astrologue-enseignante et adhérente à la FDAF (Fédération des Astrologues Francophones).
Mon travail artistique s’inspire de la philosophie inhérente à l’astrologie, il repose sur une volonté de rendre compréhensible au plus grand nombre, des messages teintés de spiritualité et porteurs de sens. Cette démarche n’est pas des plus aisées. Nous vivons dans une civilisation occidentale qui, par le biais des nouvelles technologies de l’information /communication et les logiques commerciales qui les régissent, entrave toute transmission au profit du spectaculaire, de l’éphémère et de la stimulation des émotions. C’est pourquoi beaucoup d’entre vous doivent connaître l’astrologie uniquement sous sa forme très réductrice que sont les horoscopes de journaux.

Or, tout comme l’astrologie, rien n’est inéluctable et tel le Cheval de Troie, j’utilise ces mêmes technologies pour servir mon propos et amener une réflexion. Je perçois l’astrologie comme un moyen de résistance face au matérialisme d’un système capitaliste où le dogme de la pseudo-rationalité du marché est la nouvelle religion. L’individualisme égoïste, le rejet de la spiritualité et de ce qui n'est pas quantifiable, analysable, a paradoxalement débouché sur une science économique abstraite complètement détachée du monde réel. Aujourd’hui on tente d’apaiser la colère du Dieu marché par des offrandes de liasses de dollars sur l’autel de Wall Street, sacrifiant au passage l’environnement et les 99% de la population exclu de l’Église du Veau D’Or.
Sur le plan mondial, nous sommes dans une période de transition (et donc de grands bouleversements), qui voit se dessiner de manière encore imperceptible, un monde où les connaissances spirituelles ancestrales retrouvent un nouveau souffle. Les enjeux écologiques et économiques mondiaux ou les avancées de la physique quantique, ravivent le sentiment d’appartenir à un tout universel.
Un pont se construit entre les polarités Yin et Yang et j’apporte ma pierre à l’édifice.

mardi 13 août 2013

Exogénèse, reptiliens et Anunnakis


Les cultures les plus anciennes font référence à des ancêtres reptiliens, que ce soit Quetzalcoatl, le serpent à plumes des Aztèques et Toltèques, en passant par les rois Dragons en Chine, le serpent de la Génèse ou le Dieu de la médecine Asclépios et son Caducée dans la mythologie grecque, etc... 



Dessin inspiré d'un "Musgir" décrit par Anton Parks :  sorte de grand dragon qui serait une ancienne souche Gina'abul recréé par les Usumgal An et Ansar (cf. Les Chroniques du Girkù tome 1 - Les Étoiles sombres, Anton Parks).

 Le travail d’Anton Parks éclaire d'une manière totalement inédite l’histoire de l’humanité antédiluvienne et développe la thèse selon laquelle nous sommes le fruits d'interactions complexes avec des entités extraterrestres que nous avons longtemps prises pour des "Dieux".
Loin des paradigmes du darwinisme et du créationnisme, Parks propose une exogenèse de l'humanité fondée sur le décryptage des grands mythes fondateurs, mais aussi des textes sumériens et bibliques. De nombreuses personne prendront ce gars pour un fou, néanmoins son travail de décodage du syllabaire "Gina'abul sumérien" (proto-sumérien) fait réfléchir quand à l'existence d'une langue originelle, commune aux peuples dogon, hébreu, grec ancien, Hopi, latin, hindi ou germaniques.


Parks est un personnage mystérieux qui n'accorde d'interviews uniquement par écrit. Ce linguiste spécialisé dans le langage Gina'abul, a écrit plusieurs tomes des Chroniques du Girkù, une saga retraçant l'histoire de peuples E.T., généticiens et créateurs de l'espèce humaine.

Les informations véhiculées sont à prendre quand même avec du recul, Parks affirmant avoir construit son récit en décodant certaines tablettes sumériennes, mais aussi par le biais de "visions". Après lecture du "Secret des Étoiles sombres" (le Tome 1 des Chroniques du Girkù), le livre est plaisant à lire. Même si l'on n'adhère pas à la thèse de l'auteur on peut voir l'ouvrage comme un bon livre de science-fiction rempli de références mythologiques.

 À côté de sa saga, Anton Parks a écrit d'autres livres qui se présente comme la synthèse de ses recherches historiques et archéologiques.
Le 1er des livres que j'ai lu de lui en fait parti, il s'agit d'"Eden".

"Eden" ne peut laisser indifférent. Les informationss révélées par l'auteur peuvent révolutionner l'approche des religions... et par extension des cultures dans lesquels nos sociétés baignent). Néanmoins, ce travail de traduction de tablettes sumériennes risque d'être passé sous silence, voir dénigré. 

Voici un Teaser du livre :



À titre personnel, la théorie des origines extraterrestre de l'humanité me semble plausible. L'exogénèse d'Anton Parks fait le lien entre toutes les croyances, celles des mythes païens (mythologies égyptienne et grecque) et des religions instituées. Certains y verront d'ailleurs (à tort ou à raison) un raisonnement complotiste de part l'association d'éléments aussi disparates que l'origine prétendument "Amasutum" du Kamasutra ou la guerre des États-Unis en Irak (pour faire main basse sur les trésors archéologiques en plus du pétrole). 

Mais admettons qu'un dixième de la masse d'informations de ces livres soit vraie... 
Comment ne pas provoquer de remous, si l'on annonçait demain que "LES" Dieux créateurs de l'humanité* étaient des esclavagistes, tandis que "le Serpent" (Enki) se trouvait être un libérateur  par la diffusion d"un savoir qui avait pour but d'émanciper l'homme...

* Elohim (le mot hébreu qui désigne Dieu dans l'Ancien Testament) serait un mot pluriel.

Dès lors que l'existence d'extra-terrestres dans l'univers est inconcevable chez certains, quelles conséquences découleraient de l'annonce d'un humanité créée par un peuple venu du ciel (les Anunnakis)? 
Et pourtant, est-ce moins crédible que la version "officielle" de la Genèse? 

Le problème est que la scientologie créée par l'écrivain de science-fiction L.Ron Hubbard s'est déjà appropriée cette cosmogonie. 
De ce fait, les dogmes religieux et darwinien semblent avoir de beaux jours devant eux, les "garde-fous" sont en place afin de décrédibiliser toute tentative de mettre en lumière des connaissances ancestrales... 
Créez votre opposition en lui fournissant les arguments les plus bancals possibles et la foule adoptera votre idée, la considérant comme la seule alternative.

dimanche 4 août 2013

La mue

La théorie controversée de Paul Mac Lean du cerveau triunique, prétend que trois cerveaux distincts seraient apparus successivement au cours de l’évolution de l'espèce humaine : un cerveau reptilien, puis un cerveau paléomammalien (apparenté au cerveau limbique) et enfin un cerveau néomammalien (apparenté au néocortex).
Lorsque l'on se réfère à la définition du cerveau reptilien, il est légimime se de demander si nous ne serions pas, plus ou moins, resté au stade de l'animal. L'Humain ne serait pas encore né. 
Et si en prendre conscience était déjà un pas de franchi vers l'émancipation de cet état. Transcender la matière, transformer le plomb en or... 

" Le cerveau reptilien serait donc notre premier cerveau. C'est celui qui régit le fonctionnement des oiseaux, des amphibiens, des poissons et des reptiles.
Au niveau purement anatomique, il correspond, chez l'être humain, au tronc cérébral. Bien protégé, en profondeur, il est la structure cérébrale la plus résistante à un traumatisme crânien. Certains le considèrent plutôt comme le haut de la colonne vertébrale.
Il est responsable des comportements primitifs assurant nos besoins fondamentaux. Il assure la survie de l'individu et de l'espèce.
Sa première fonction est d'assurer l'homéostasie. Il assure la régulation de notre respiration, de notre rythme cardiaque, de notre tension artérielle, de notre température, de nos échanges hydriques, gazeux et ioniques, etc.
Il assure la satisfaction de nos besoins primaires ou besoins vitaux tels que l'alimentation, le sommeil, la reproduction, etc.
Il est le gardien de réflexes innés tels que le vol migratoire des oiseaux, la ponte des tortues ou des saumons, etc.
Il est responsable de notre instinct de conservation et de certains réflexes de défense comme la morsure du serpent, la fuite, l'envol des oiseaux, etc.
Ce cerveau primitif de reptile entraîne des comportements stéréotypés, pré-programmés. Une même situation, un même stimulus, entraînera toujours la même réponse. Cette réponse est immédiate, semblable à un réflexe. Les comportements induits par le cerveau reptilien ne peuvent évoluer avec l'expérience, ne peuvent s'adapter à une situation, car ce cerveau n'a qu'une mémoire à court terme.
Chez l'homme, ce cerveau serait principalement responsable de certains comportements primaires comme la haine, la peur, l'hostilité à l'égard de celui qui n'appartient pas au même groupe d'appartenance que soi, l'instinct de survie, la territorialité, le respect de la hiérarchie sociale, le besoin de vivre en groupe, la confiance dans un leader, etc. Parfois, lors de situations stressantes, cette partie de notre cerveau peut prendre le dessus sur notre néo-cortex, ce qui entraîne des comportements imprévisibles. " 

Source : Wikipédia